Depuis des années, je souffre du syndrome de l’intestin irritable et de douleurs articulaires, je me dirige peut-être vers une polyarthrite rhumatoïde. Malgré l’utilisation des huiles essentielles, des semelles orthopédiques et de CBD 20% qui apaisent mes douleurs, les résultats ne sont pas durables. La médecine traditionnelle ainsi que la kinésithérapie ne peuvent pas grand chose et mes douleurs gagnent toutes les articulations.
Après bien des recherches sur internet, mon attention s’est arrêtée sur les travaux du Dr Seignalet et sur le livre de Jacqueline Lagacé. Dès les premières pages, je me suis sentie en terrain connu. En effet, ses douleurs sont apparues au fil des années aux mêmes endroits que les miennes. Dos, cou, épaule, doigts, genoux, etc.
Comme je n’ai rien à perdre, mais au contraire tout à gagner, je décide de commencer le régime hypotoxique le 10 janvier 2022 du Dr Seignalet.
Au fil des semaines, j’écrirai mon ressenti, mes constatations, mes remarques, etc.
Si vous aussi, vous êtes concerné(e)s, je vous remercie de me faire part de votre expérience.
A bientôt de vous lire.
Je vous recommande le livre qui détaille l’expérience de Jacqueline Lagacé. Sa découverte des travaux du Dr Seignalet. Les effets thérapeutiques de l’observation du régime hypotoxique sur son arthrose/arthrite des mains etc.
Quelles sont les bases du régime hypotoxique ?
Les premiers hominidés ont fait leur apparition sur terre il y a quelques six millions d’années ; depuis nos ancêtres se sont surtout nourris des produits de leur chasse et de leur pêche ainsi que de la cueillette de végétaux non cultivés et, lorsque c’était possible, de miel. Nos enzymes digestives ont donc évolué en fonction de ce type d’aliments. La nourriture qui provient de l’agriculture et de l’élevage – une « innovation » qui date seulement de 10 000 ans – ne représente ainsi qu’environ 1% de l’histoire de l’être humain. Et comme nos gènes évoluent très lentement et qu’il a été démontré que ceux des Homo sapiens apparus il y a 200 000 ans sont identiques aux nôtres. Nos enzymes seraient mal adaptées à l’alimentation moderne.
Conséquence?
Chez certaines personnes, l’intestin grêle devient « hyperméable »(c’est-à-dire qu’il permet le passage dans le sang et les tissus de molécules trop grosses, donc nocives, d’origine alimentaire et bactérienne); ce qui, en cas de fragilité génétique, entraîne le développement de maladies inflammatoires chroniques.
Claudia