Kéli est un adolescent impétueux qui ne rêve que d’une chose : passer le rituel du Katafali afin de devenir un homme aux yeux de sa tribu. Seulement, le jeune garçon peine à intégrer pleinement la philosophie pacifique de son peuple, ainsi que les sages conseils de ses aînés…
Les entrainements s’intensifient dans l’attente du soir où les jeunes gens vont devoir impressionner l’élite des guerriers du village. Et ainsi démontrer qu’ils sont prêts pour devenir adultes.
Le frère de Kéli a déjà rejoint la garde du royale. Il lui a montré quelques gestes techniques. Mais Kéli n’a pas encore compris la philosophie du KATAFALI. Il pense que frapper fort suffit. Son ami Naana est agacé par son comportement. Il délaisse les entrainements pour cueillir des fruits avec des filles.
Anansi, le sorcier, a une vision d’apocalypse : le village va se faire envahir par des étrangers dotés d’un pouvoir mystérieux et meurtrier ! Les membres du clan se trouvent désormais face à un dilemme : comment se défendre face à cet ennemi quand leurs croyances leur imposent la non-violence ?
Bien que je trouve les dialogues quelque peu décousus, j’ai beaucoup aimé le dessin en noir et blanc et les valeurs que l’auteur défend. La non violence.
Claudia