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Orrymanthe, monde de légende ou la z’humanité a été bannie et ou vivent en parfaite harmonie elfes, gobelins et autres créatures fantastiques. Mais lorsque l’ombre d’une technologie maléfique issue de l’ancien monde vient s’abattre à nouveau sur ce peuple merveilleux, un courageux gobelin va se retrouver entrainé malgré lui dans une épopée épique et devra alors retrouver les temples renfermant la clé du pouvoir de la déesse artificielle, afin de la contrer.
Le monde d’Orrymanthe pourra-t-il être sauvé avant qu’il ne sombre dans le chaos ?
Adoubé par le légendaire roi des elfes au rang de « chevalier de la légion du rire et du divertissement », Michael Martin est un gobelin troubadour (comédien, animateur, auteur pour des humoristes en devenir et bien entendu écrivain). Bercé par des fées à sa naissance, il a depuis gardé un contact privilégié avec le peuple fantastique. Baignant dans le merveilleux, il souhaite partager son amour de l’héroique fantasy en faisant vivre à nouveau mythes et légendes à travers ses romans.
La trame de cette histoire est bien menée. Les z’humains après avoir fortement endommagé la planète avec le libéralisme ont disparu. De nombreux personnages fantastiques alors apparaissent aux fils des pages. Et bien que ce livre s’adresse à tous les publics, je trouve les noms quelque peu difficiles à retenir. L’aventure est plaisante. Néanmoins, je n’ai pas aimé les dialogues qui m’ont apparu décalés. Ils s’inscrivent plus dans un roman de Z’humains. Bref, vous comprenez que je n’irai pas plus loin que ce tome 1. Il me manque la musique, la fluidité, l’atmosphère du fantastique. À aucun moment je ne me suis évadée, comme dans Eragon, à la croisée des mondes, etc.
Je remercie les Ed « les 3 colonnes » et Babélio pour ce livre dans le cadre de masse critique.
Claudia
