Dans la lignée de Plaidoyer pour l’altruisme, Matthieu Ricard invite à étendre notre bienveillance à l’ensemble des êtres sensibles. Dans l’intérêt des animaux, mais aussi des hommes.
Nous tuons chaque année 60 milliards d’animaux terrestres et 1 000 milliards d’animaux marins pour notre consommation. Un massacre inégalé dans l’histoire de l’Humanité qui pose un défi éthique majeur et nuit à nos sociétés : cette surconsommation aggrave la faim dans le monde, provoque des déséquilibres écologiques, est mauvaise pour notre santé.
En plus de l’alimentation, nous instrumentalisons aussi les animaux pour des raisons purement vénales (trafic de la faune sauvage), pour la recherche scientifique ou par simple divertissement (corridas, cirques, zoos).
Et si le temps était venu de les considérer non plus comme des êtres inférieurs mais comme nos « concitoyens » sur cette terre ?
Nous vivons dans un monde interdépendant où le sort de chaque être, quel qu’il soit, est intimement lié à celui des autres. Il ne s’agit pas de s’occuper que des animaux mais aussi des animaux.
Cet essai lumineux met à la portée de tous les connaissances actuelles sur les animaux, et sur la façon dont nous les traitons. Une invitation à changer nos comportements et nos mentalités.
Tous les droits d’auteur sont reversés à l’association Karuna Shechen.
Je ne suis pas ressortie indemne de cette lecture. La cruauté faite aux animaux pour le simple plaisir de l’homme est révoltant. J’ai surtout compris que depuis l’enfance, nous sommes manipulés, conditionnés pour consommer de la viande. Depuis que je ne mange plus de viande, je n’ai aucune carence. J’aime les animaux, comme j’aime mes amis humains. Pourquoi mangerai-je les uns et pas les autres ?
Il me reste encore du chemin à parcourir concernant mes amis de la mer. En effet, je suis née à La Rochelle et les habitudes alimentaires sont tenaces ! Bien que j’ai réduit considérablement ma consommation dû au prix exorbitant de ces produits. Et surtout quand je converse avec mes poissons rouges de mon bassin, je culpabilise. Ceci montre que je prends conscience des massacres perpétrés dans les océans.
Je vous invite à lire l’article de Béa sur 650 000 cochons dans un bloc de béton
Claudia
Merci pour le partage de mon coup de gueule… C’est tellement monstrueux.
Je ne suis pas ressortie non plus indemne de cette lecture.
Tant de cruauté… C’est révoltant et écœurant. Pourquoi tant de souffrance pour les animaux. Quelle sale race que la nôtre !
Bisous ma Claudia
La société libérale est coupable de la cruauté de tous les animaux de la terre. Juste pour « faire » de l’argent. la santé de l’Homme et les conditions de détention des animaux, ce n’est pas leur soucis.