« Dans Assassin’s Creed, Robespierre est montré comme un homme sans cœur, avide de sang et un peu fou. En fait ça, c’est la vision répandue de Robespierre. Aujourd’hui, beaucoup de gens ont effectivement cette image de lui : celui qui a fait guillotiner tous ses opposants, celui qui a organisé la Terreur.
Cette image, elle vient pas de nulle part. Les historiens ne sont pas d’accord sur cet homme politique, certains remettent en cause cette vision et proposent une approche alternative, en essayant d’être plus juste, plus objectif. » Voici le troisième et dernier épisode de notre mini-série de l’été sur la politique et la pop-culture. Après avoir parlé de Harry Potter et du Joker, on s’attaque aujourd’hui à Assassin’s Creed et aux jeux vidéo. Attention ici on parle bien des jeux vidéo Assassin’s Creed et pas du film sorti en 2016.
On ne fera aucun commentaire sur ce dernier. Juste, si vous avez envie de découvrir cet univers, jouez aux jeux. Si vous vous attendez à ce qu’on dise que les jeux vidéo rendent violent, passez votre chemin. Ou plutôt non, restez et allez jusqu’au bout de cette vidéo. Dans la saga Assassin’s Creed, on se sert d’une machine pour explorer différentes époques du passé.
A travers les différents jeux, on découvre la renaissance italienne, l’antiquité grec, la troisième croisade, etc etc. Un des opus de la série fait particulièrement parler de lui dans la sphère politique et médiatique française, c’est Assassin’s Creed Unity. Décryptage.
Très bien expliquer.
Claudia