le silence de la joie, Christopher Laquieze. Pas mon style !

Pourquoi la vie ne répond-elle jamais à nos attentes ? Comment vivre dans un monde qui reste muet face à notre quête de sens ?

Je suis Christopher Laquieze, un philosophe (ATOPOS), écrivain et directeur de collection aux éditions TREDANIEL. Autodidacte depuis mes seize ans, j’ai créé en 2021 le mouvement du « Banquet de la Connaissance », qui réunit des centaines de philosophes et propose des conférences visant à rendre la philosophie pratique et accessible au grand public. En collaboration avec Mathias Leboeuf, docteur en philosophie et journaliste CNEWS, j’ai lancé la première collection de « Petits traités philosophiques » aux éditions GUY TREDANIEL. J’organise des conférences dans toute la France et je collabore avec des laboratoires de recherche en neuroscience et en psychologie cognitive pour diversifier mon approche et la rendre plus innovante. Mon objectif est de faire vivre la philosophie, la littérature et les sciences cognitives à l’unisson pour les apporter de manière pratique et accessible au grand public. La philosophie n’est pas seulement un jus de cerveau abstrait réservé aux élites, elle est avant tout mère et fille de notre existence. Avec un style unique, un parcours atypique et une passion débordante, je me démarque aujourd’hui sur la scène philosophique par mon originalité et mes connaissances. Parti de rien, j’ai réussi, à l’instar de Jean-Pierre Martinet, à arriver nulle part.

J’ai reçu ce livre dans le cadre de masse critique de Babélio. Et malheureusement je n’adhére pas aux propos de l’auteur. Je pense que mon chemin philosophique a dépassé le genre « thérapie personnelle » Ce n’est même pas une critique. Juste une constatation. Ma philosophie est à l’opposée de la sienne. Je préfère et de très loin Michel Serres.

Christopher Laquieze écrit  » en nourrissant constamment l’espoir d’un avenir meilleur, nous manquons le présent, nous glissons à côté de la vie. (….) C’est pourquoi j’ai souhaité réadapter le réel, (…) La joie d’être heureux malgré le monde.

Il m’est impossible de ressentir de la joie quand le génocide en Palestine est toujours d’actualité et que le président de la France nie ce fait. Il m’est impossible de ressentir de la joie quand des centaines de gens pour Noël, en France, vont être licenciés. Alors même que les actionnaires n’ont jamais fait autant d’argent.

Pour philosopher en toute conscience, il nous faut prendre en compte la situation politique mondiale. Sinon nous passons à côté de l’essentielle. L’espoir d’un avenir meilleur.

« Je n’ai rien fait que d’être un homme qui ne renonce pas à une vie meilleure » P Eluard

Claudia