24 avril 2024

Les mots sont des fenêtres (ou bien des murs) de Marshall Rosenberg

« la plus part d’entre nous avons été éduqués dans un esprit de compétition, de jugement, d’exigence et de pensée de ce qui est « bon » ou « mauvais.

Au mieux, ces conditionnements peuvent conduire à une mauvaise compréhension des autres, au pire, ils provoquent une colère ou une frustration, et peuvent conduire à la violence.

Une communication de qualité entre soi et les autres est aujourd’hui une des compétences les plus précieuses ».

Marshall Rosenberg met dans ce livre une manne d’outils très simples pour améliorer notre relation aux autres. Le rôle du langage est déterminant et l’usage des mots est primordial. Nous le savons bien qu’un mot peut nous aider à vivre plus longtemps, comme il peut nous foudroyer dans l’instant. Plus j’avance dans la vie et plus j’observe qu’il vaut mieux répondre par un silence que de prononcer des mots qui sont vécus comme des murs. La relation humaine n’est pas facile, mais elle apparaît plus simple quand nous réfléchissons aux mots employés, aux phrases énoncées. Par la communication je recherche un échange avec l’autre basé sur le partage d’un moment agréable. Et non une confrontation d’égos.

Décrire ses sentiments n’est pas naturel, nous décrivons plus facilement des opinions: « je pense que…Il doit certainement … » Quand j’arrive à exprimer mes sentiments vis à vis d’une situation, d’une personne, d’une absence, d’une joie, alors je perçois le regard, l’écoute de l’autre différente et je suis agréablement surprise que ma parole soit prise au sérieuse. Je savoure l’échange car je suis entendue.

Claudia

2 réflexions sur « Les mots sont des fenêtres (ou bien des murs) de Marshall Rosenberg »

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