Invitée la philosophe belge Vinciane Despret, qui a écrit « Au Bonheur des morts« . Véritable enquête sur les relations que les vivants continuent à entretenir avec ceux qui ne sont plus. Ensemble, elles interrogent l’injonction à faire son deuil.
Excellente émission qui apporte bien des réponses sur le deuil. Il n’existe pas de remède contre la peine, le violence ressentie. Le temps permet d’adoucir le sentiment de solitude qui nous habite. Comme une aile cassée qui malgré l’envie ne guérie pas. Elle reste atrophiée et par moment la douleur est tellement présente qu’elle nous empêche de voler vers l’avenir.
Claudia
Merci pour ce partage très intéressant
Faisons nous notre deuil des personnes (ou animaux) que nous avons aimés ?
Je ne crois pas… On vit avec nos absents…
Parfois, la douleur est si vive, qu’elle nous empêche d’avancer sereinement. Des idées noires nous envahissent et nous ramènent à notre triste condition de mortel…
Bizzz
En effet, je n’aime pas cette forme « faire son deuil ». C’est pourquoi j’ai aimé l’approche de cette sociologue. Bises