Issue d’une lignée de sages-femmes, Dýja est à son tour « mère de la lumière ». Ses parents dirigent des pompes funèbres, sa sœur est météorologue : naître, mourir, et au milieu quelques tempêtes.
Alors qu’un ouragan menace, Dýja aide à mettre au monde son 1922e bébé. Elle apprivoise l’appartement hérité de sa grand-tante, avec ses meubles vintage, ses ampoules qui clignotent et un carton à bananes rempli de manuscrits. Car tante Fífa a poursuivi l’œuvre de l’arrière-grand-mère, insérant les récits de ces femmes qui parcouraient la lande dans le blizzard à ses propres réflexions aussi fantasques que visionnaires sur la planète, la vie – et la lumière.
Sous les combles, un touriste australien semble venu des antipodes simplement pour faire le point. Décidément, l’être humain est l’animal le plus vulnérable de la Terre, le fil ténu qui relie à la vie aussi fragile qu’une aurore boréale. Ed Zulma
J’aime l’écriture. J’aime l’ambiance. Audur Ava Olafsdottir comme à son habitude nous emmène au de-là des mots. En partant du métier extraordinaire de sage-femme, elle nous invite à réfléchir sur le sens que nous donnons à notre vie. je recommande vivement ce roman.
Claudia
Un livre à retenir pour une éventuelle lecture
Bisous ma Claudia
En effet, c’est un très bon livre. Bisous du soir, Béa 🙂
Je n’en doute pas…
Bisous ma Claudia et bon WE
Bon WK à toi Béa 🙂
Merci ma Claudia
A toi aussi
Bizzzz
Claudia, encore tes deux derniers mails dans mes indésirables.
Jean-Claude, je ne sais pas pourquoi, je l’ai dis à mon fils. 🙂
Encore un mystère.
Comme tu dis !