P’tit Case à bulles parle très bien de cette pépite de bande dessinée.
Dès la couverture, j’ai été conquise. Elle est illustrée par Nicolas Barral. Les auteurs Chabouté, Christian De Metter, Gess, Richard Guérineau, Inaki Holgado, Jean-Paul Krassinsky, Emmanuel Moynot, Miceal Beausang O’Griafa, Jean-Philippe Peyraud, Cyrille Pomes, Pascal Rabate, Tony Sandoval, Cyril Liéron, Adrien K. Seltzer, Nicolas Barral
Une danse ? de Gess le dessin, les couleurs, l’ambiance tout est au rendez-vous.
j’ai jubilé à la deuxième histoire: Le crime de Séraphin Bouchet de Guérineau quelle ambiance ! les couleurs fondues avec le noir et la finesse du dessin. Sans parler des dialogues.
La beauté des personnages ajoute à l’intrigue la dimension des policiers savoureux dans Cry Me A River de Holgado & Seltzer
12h 30 de Chabouté Ambiance poignante pour évoquer la noirceur de Dallas 1963. J’ai trouvé la nécrologie d’Anaïs Bon un tantinet légère.
Le train pour paris de Rabaté est admirable par ses personnages tout en rondeur. L’utilisation de divers gris souligne l’histoire du crime avec finesse.
L’aveu de Peyraud & Liéron Dans cette histoire on change radicalement de style et d’ambiance. Ceci n’enlève en rien à la réussite. La nécrologie porte sur le mot détective.
Meurtres en abyme de Sandoval & O’Griafa il apparait une ambiance bien policière ! La nécrologie d’Anaïs Bon est bien documentée.
Le pépère de Moynot est loin d’être une promenade chez les Bisounours !
Le perfectionniste de Krassinsky Ambiance est très particulière. Cependant le message véhiculé est bien présent. La nécrologie porte sur l’Art.
Danse macabre de Pomès Le choix des couleurs sombres accentue l’histoire des personnages. La nécrologie porte sur l’espoir !
Le crime parfait de De Metter Quelle précision du trait ! Des expressions ! Et puis quelle philosophie !
Toutes les nécrologies sont d’Anaïs Bon
Cette bande dessinée concoctée par 15 grands auteurs est vraiment un exercice de style très réussi ! Du grand art.
« Le crime parfait est le triomphe de la préméditation, le criminel doit non seulement camoufler son crime s’il le peut, mais même prévoir toutes les circonstances qui entourent ce crime de manière à ne laisser aucune trace, de façon à ce que son crime se déroule, en quelque sorte, automatiquement… » – Thomas Narcejac, auteur de Esthétique du roman policier
Je remercie très chaleureusement la Maison d’Ed Philéas pour cette belle découverte. Ainsi que Babélio de m’avoir sélectionné dans masse critique.
Claudia
Une BD joliment présentée
Bisous ma Claudia
Merci Béa. Bises 🙂
Merci chaleureux pour ton passage et commentaires sur mon blog
Oui je suis en famille chez ma fille en Creuse avec mon fils et sa petite famille
Les 4 petits-enfants réunis.
Bon dimanche de Noël
Bisous ronronnants ma Claudia
Bravo !Béa Moi aussi grand moment de bonheur en famille. Bisous