Fabrice Luchini converse avec les morts pour éclairer les vivants dans deux spectacles qu’il reprend jusqu’au 25 janvier 2021 au Théâtre des Bouffes Parisiens : « »Conversation autour des portraits et autoportraits » (créé en 2019) et « Des écrivains parlent d’argent » (créé en 2017). Un plaidoyer vibrant pour la culture en temps de crise, le spectacle vivant sous couvre-feu, la transmission des savoirs des bancs de l’école aux scènes de théâtre… Un appel à respecter nos Maîtres et à résister par la partage et les Savoirs.
« Ne vous suicidez pas il y aura toujours quelqu’un à décevoir » ciorant
« C’est terrifiant, c’est morbide, c’est sordide » : ainsi s’exprimait Fabrice Luchini sur Tweeter au sujet de l’annonce du couvre-feu.
Un arrêt de mort pour le monde de la culture, notamment celui du théâtre. Le comédien évoque aussi la pièce de Jules Romains, Knock ou le Triomphe de la médecine, pour parler du monde d’aujourd’hui. Face à cela, quel est le rôle de l’artiste, et en particulier celui de l’homme de théâtre, dans la Cité ?
« La seule chose, c’est la bêtise » Camus
» Qu’est ce qu’un français ? C’est un Italien de mauvaise humeur » Cocteau
« Aller au théâtre c’est accepter que « je » est « nous » Jouvet
Quel dommage qu’il ne lise pas les ouvrages d’hommes intellectuels politiques. Je suis convaincue qu’il pourrait y trouver une pensée qui pourrait là aussi l’intéresser et lui apporter un autre ressenti sur les politiques actuelles
Claudia
J’adore ce Fabrice et ses mots !
Biz
Moi aussi 🙂